FONTAN : Le Jazz Acrylique.
BOWERY VANGARD MAGAZINE : FONTAN : Le Jazz Acrylique. ZE REcords International. By Harvey Nichols .
Beautiful ascetic torch songs, perfumed by lysergic flavours. To lyrics, too ( ... Burning horse skulls in the cleaning row;;; (sic) ). Recently released by ZE Records, ( understand the epitom of the "always fashionable indie label with exellent taste"). "Le Jazz Acrylique" is , indeed, a maginficient album, instriguing enought to make you listen to it from start to the end... With singer DC crooning effortessly in a Bowie/Reed reminiscent vibe, on dreamy guitar twangs, or fuzz fuelled riffola... Truly betwtching !
BEL AIR Independant Radio - NYC : FONTAN : Le Jazz Acrylique.
"Straight from global indieland comes this romantic wonder, mixing Velvet ashes with shades of falmenco, drops of vibraphone with lysergic Murphy or Perret (real Bowie), half Lou reed circa Transformer, with intriging but poetic lyrics... Not to mention the somptuous packaging, apparently designed by the artist himself... The whole thing recently relaesed by the infamous ZE Records Label. A white Stone... "
POPNEWS - Vincent Arquilière
Un certain DC Shell nous informait qu’il avait sorti un album chez ZE Records et proposait de nous l’envoyer. Quelques jours plus tard, l’objet, posté « par un matin froid, de la poste lilliputienne de [son] hameau tarnais » (sic), était dans notre boîte aux lettres : “Le Jazz acrylique”, par Fontan. Le jazz se réduit ici à quelques échos, ou fumées bleutées. Quant à l’acrylique, la belle pochette (l’objet est emballé avec autant de soin qu’un pressage japonais de This Mortal Coil) laisse penser qu’il s’agit de peinture plutôt que de textile. Fontan semble d’ailleurs un peu aborder la musique comme un peintre, mi-abstrait, mi-figuratif. Ou comme un sculpteur de matière sonore, reverb, fuzz et larsens, à l’ancienne, à l’opposé du tout-numérique actuel. Ou encore comme un mécano qui retaperait de vieilles bécanes chromées pour la beauté du geste. L’album est bref, mais on devine que son auteur y a passé du temps – après tout, rien ne presse. “Le Jazz acrylique” est un peu le pendant européen d’un beau disque tout aussi inclassable et sorti de nulle part, enregistré par un Français installé aux Etats-Unis et sur lequel on avait écrit il y a 17 ans, “Film” de The Blasco Ballroom. Les amateurs de popsongs bien charpentées ne seront pas à la fête. Pas vraiment de refrains ici, pas de gimmicks qui restent dans le crâne, mais des morceaux parlés-chantés – en anglais – sur un riff de guitare qui tourne en boucle (“Free Press Provo”), du flamenco au ralenti qui finit par se dissoudre dans les effets sonores (“The Drowned Metropol”), du Bauhaus sous tranquillisants joué au fond d’un tunnel (“Colossus”), du blues liquéfié, et partout un sens de l’espace que n’auraient pas renié David Sylvain, Mark Hollis, Michael J Sheehy ou, plus près de nous, le trop méconnu Benoît Burello alias Bed. Tout ici est spectral, baigne dans un profond mystère, semble venir d’un lieu et d’une époque indéterminés. DC Shell, graphiste dans le civil, vétéran underground, a éduqué ses oreilles au post-punk bien raide et à la new wave française, mais semble aussi chercher l’écho des studios Sun ou de la Factory quand le Velvet y répétait. Le dandysme de la chose pourra fasciner ou agacer, mais il est peu probable que cette musique laisse totalement indifférent. Fontan a fait le disque qu’il voulait, comme il voulait. Ceux qui, pendant une grosse demi-heure, veulent échapper à l’ordinaire, sauront saisir cette bouteille jetée à la mer."
FONTAN
DC Shell : Vocals, Stagg Jazz Guitar, Schütz Studi Piano, Theremine, Farfisa Organ,
Conrad Dupre : Drums & Percussions
All Songs composed and recorded at Le Studio Equatorial : Lasgraises France
Published by Nagra Littoral
Produced by DC Shell
Nagra Littotal a subdivision of ZE Records Music Group
℗ & © ZE Records 2017
"One of my early, and still striking, memory of what transcendance could really mean, was probably listening religiously for hours,
non-stop, on my 2nd-hand vintage Peugeot, to The Passage "For ali and none" album, while drifting endlessly along blue countryside roads, under a summer night sky full of opalescent stars.
Copy from the vinyl version, on an orange BASF cassette, by a dedicated school friend. And it quickly appeared that this precious piece of tape and plastic was sorne kind of magic gift from God, Himself, to make sure that, from that time on, i would really know
the definitive difference between a plain average provincial schoolboy life and the bewitching power of reallife of mystery and wonder... Do i need to mention how fast my previous life morphed into the other ?"
A classic confession from a not so classic singer-songwritter.
DC was born and raised somewhere in Europe, spending his childhood and teenage years close to the mountains,
then moved to Suburbia to find himself under the spell of Neil Diamond, formed FONTAN while learning how to emulate Aubrey Beardsley, recruiting additionnai musicians to share his vision (Conrad Dupre, Em Chemin), rehearsing at night in a disaffected water tower, performing gigs in art galleries, and finaly recording "Le Jazz Acrylique" in a vintage studio under the roof of an old presbitery.
FONTAN are:
DC Shell : Derwann Jazz guitar, ADK mie
Em Chemin : Antonelli Organ, Duke electric piano
Conrad Dupre : Hohner Pearl drumkit